Shûri Kosei Dôjô

Shûri Kosei Dôjô

2024 – l’année du dragon

© Pillet Jean-Jérôme

Le Dôjô, lieu de recherche

Shûri kosei Dôjô créé par Jean-Jérôme Pillet, on y pratique le Jôdô, le Kenjutsu de Shintô Musô Ryû et le Iaïdô Muso Shinden Ryu avec Bénédicte.
Shûri Kosei Dôjô par Pascal KRIEGER sensei

Le « Dôjô » est le lieu où l’on étudie, où l’on cherche la « Voie », son chemin de vie, une meilleure compréhension.

Nous étudions le Jôdô, de l’école traditionnelle d’armes japonaises Shintô Musô Ryû et le Shintô Ryû Kenjutsu. Nos armes principales sont le (bâton) et le Bokken (sabre d’entraînement), d’autres armes sont aussi étudiées, comme le Tanjo, le Kusarigama et le Jutte.

En parallèle nous pratiquons également le Iaïdô de l’école Musô Shinden Ryû. Le Iaïtô sabre d’entrainement non affuté remplace le Katana pour la pratique.

Le Dôjô Shûri Kosei – Valais

Notre Dôjô a été fondé en 2014 par Jean-Jérôme Pillet, à l’occasion d’une démonstration donnée à Sion avec ses professeurs Yves Galley et Séverin Corpataux du Bushido de Fribourg. (article de presse). Depuis ses débuts en 2000, il poursuit sa formation auprès de Yves Galley (Menkyo Kaiden), professeur de référence, et de Michel Ducret (Menkyo Kaiden) du Musôkai de Montreux. Il a reçu en 2023 le certificat traditionnel Sho Mokuroku de l’école Shintô Musô Ryû des mains de Pascal Krieger sensei.

Bénédicte Bourdin, 1er Dan de la FEJ, complète actuellement l’encadrement du Dôjô.

Shûri Kosei Dôjô est membre de la Fédération Européenne de Jôdô et de la Fédération Européenne de Iaï.

Shûri Kosei – l’amélioration continue

Nishioka sensei que Pascal Krieger a suivi après le décès de Maître Shimizu. Notre pratique actuelle au Dôjô de Sion avec Bénédicte

« Shûri Kosei » est un des principes que Me Nishioka a mis en avant pendant ces 30 dernières années.
Il décrit la manière de nous entraîner : observer notre technique, réparer nos erreurs, et consolider le tout. Quelques années plus tard, un nouvel examen de cette technique depuis un plan plus élevé fera apparaître d’autres faiblesses, réparation et consolidation là encore. Ce processus est infini puisqu’il tend à une perfection qui n’est pas de ce monde. « Shûri Kosei » c’est l’acceptation du fait que l’on n’aura jamais terminé de s’améliorer.


(texte tiré de l’ouvrage « TEN JIN CHI » de Me Pascal Krieger)

Ceci implique l’idée d’une recherche d’amélioration personnelle, au-delà de la technique et de la combativité pures.